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| L'expression de la vie... Est formulée dans la haine [ Jun Seok] | |
| | Auteur | Message |
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Ji Ha Na
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| Sujet: L'expression de la vie... Est formulée dans la haine [ Jun Seok] 26.04.09 14:55 | |
| Si tu veux vivre ... FuisLes ruines, endroit insignifiant ou beaucoup ont donné leur vie. Guide, passeur. Que ce soit dans un camp ou l'autre chacun possède des pertes, amis ou ennemi. Les deux camps ce ressemble, pourtant les deux sont ennemis. Chacun croie lutter pour la justice, alors qu'est-ce que celle-ci ? Faites de lois, de chef et de suiveurs. Quelle cause est vraiment la plus juste ? Celle de mon frère ? Ou de ma soeur ? La seule chose que je ne puis supporter, c'est d'être seule. Moralement je l'ai toujours été. Mais perdre sa famille est un acte douloureux. Je me suis immunisé contre ceci. La douleur des autres me rend joyeuse. Suis-je un monstre ? Je suis différente ? Peut-être est-ce pour cela. Qui peut me comprendre ? On ne regarde que ce que je suis à l'extérieur. Une bête sanguinaire, qui a besoin de boire, soif de vengeance. La vengeance pousse à la folie. Peut-être le suis-je aussi ? Non je ne suis pas folle. Je possède tous mes moyens. Peut-être en étant restée simple citoyenne, les choses auraient changé. Je suis un objet. Suivant un destin tout tracé. Celui qu'avait décidé mes parents. Je n'ai jamais vraiment su ce qu'il s'était passé. Treize ans, à cet âge rendons-nous compte des évènements ? Des erreurs ? Mais surtout du sens du mot regret ? Peut-être que cette nuit j'aurais dû mourir, laissant ainsi des millier d'autre personne en vie. Mais le présent est là, bien que le passé nous suis à la trace. Je suis devenue ce que je suis, dix ans on passée depuis cette évènement. Neuf depuis mon adoption. Et enfin cinq depuis leurs nouvelles morts. J'ai compris que quand un événement m'arrivait, s'il était bon, la terre en payait les conséquences. C'est ainsi, depuis ma naissance. Je ne pouvais comprendre à ce moment la les mots de ma mère, pourtant, maintenant ils sont graver en moi. La terre me fait perdre ce que j'aime, pfft l'erreur de l'homme va pourtant bien loin. Mais celui-ci ne récolte que ce qu'il a semé. Bien ou mal. Où est la différence. Chacun de nos actes dépend du point de vue. J'ai choisi le mien. Moi je ne fais qu'observer. Agir, qu'en nécessité, je me nourris de chair et m'hydrate de sang. C'est ce qui me rend une raison pour vivre. Chercher dans mon âme et vous y verrez noirceur. Je ne suis qu'un pantin, pourtant libre de ces mouvements. Sanguinaire et sans pitié. Aucune proie ne m'a échappé. Sous ordre j'ai dû laisser mon jouet favori s'échapper. Jouer avec eux est amusant. Laver le péché, les voir souffrir en regardant mon visage, au qu'elle être hideux je peux cacher sous mon joli minois, mais ne nous arrêtons pas là. L'humain est méchant, il blesse a tout moment. Comme celui qui a dévoré mon coeur. Je regarde ce paysage, on ne me reconnaît point, suis-je connue ? On dirait des robots, qui marche l'un derrière l'autre, des citoyens stupides, dépourvus de sens morale, d'idée, ils ne font que suivre le pas que nous leur avons ordonnée. Des yeux vides qui ne font attention qu'à eux-même. Il ne voit pas qui je suis, qui je traîne. Un passeur, sans intérêt. Se sbire ne savait-il donc pas qui elle était ? Bah quelle importance maintenant ? Ces gémissements, ont pouvaient les entendre à des miles à la ronde. Pourtant, aucun ne bougeait. Traînée par terre, impossible de le torturer, celui-ci ne m'amuserait plus. Son sang avait tachée la robe blanche que je portais, mes mains en étaient aussi induite. Cette robe, moi qui avait décidé qu'aujourd'hui était jour de repos, avait engagé ma rage. Le corps du jeune passeur était sale, je le traînais dans la poussière, bétons, il avait le droit a tout. Mes cheveux onduler volait au vent du jour. Celui-ci était en accord avec mon âme, il était violent. J'arrivais, en dehors des limites, personnes n'osaient me regarder, deux guides s'opposait à ce que je passe ? Que sont-il donc devenus ? Aller savoir. Ils étaient eux aussi après tous sang intérêt. Ils ont du moins eut de la chance, ils sont morts rapidement. Ha Na n'avait pas non plus le temps de jouer avec eux. Elle entrait dans le terrain, maintenant fait d'herbes, ces ballerines quittèrent ces pieds, les laissant ainsi respirer dans la douce fraîche induite de la rosée du matin. Pourtant, nous sommes à l'aube. Sur la colline de ces ruines. Il avait le droit au moins à une belle mort. Le soleil ce couchait, bien que nous soyons dans le pays auparavant appelé le Soleil levant. Mais il n'est plus. Qu'est-ce qui est resté ? Rien, tout est mort avec l'annihilation. Plus rien de ce pays n'est vivant. Cet être ne mérite vraiment pas d'être ce qu'il est, ni sa mort, ce salir les mains pour lui serait bette. L'horizon se perdait, le vent se calmait, bien que ces longs cheveux châtains, volait au grès de son humeur. Sa robe d'un blanc pur, souiller par un le sang d'un homme sans intérêt. Ses mains, tenant les cheveux du jeune homme ; à moitié arraché, en était tout aussi induite. Son regard exprimant la haine envers se magnifique paysage. Une larme coulait le long de ça joue. Sur cette terre, un jour, plus rien ne poussera. En bas une silhouette, pas inconnue à ses yeux, mais loin qu'elle ne pouvait lui sembler si familière. Celle-ci lâcha le jeune homme. Qui au lieu de l'attaquer, pris ses jambes à son coup. Que l'être est idiot. J'étais pourtant à sa merci. Celui-ci courait vers cette silhouette. Qui était-elle ? Il semblait se connaître. Moi aussi je la connais. Si bien que son visage m'est impossible d'oublier, tellement il m'amuse ... Bien que cela ne servira à rien... Hormis m'amuser | |
| | | Ahn Jun Seok
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| Sujet: Re: L'expression de la vie... Est formulée dans la haine [ Jun Seok] 26.04.09 18:16 | |
| Ce que l’on observe dans la vie, c’est que le plus beau des sacrifices peut passer inaperçu si personne n’y prête attention. Le plus bel acte peut être pris pour un acte dément si personne n’est là pour le comprendre. L’acte en lui-même peut-être vu de différentes manières. Chaque individu le voyant à sa manière, chacun ayant des opinions différents. Ainsi, les revendications qu’affichait Jun Seok semblaient si misérables et si stupides aux yeux des guides. L’homme n’est pas fait pour s’entendre, il n’est pas fait pour se comprendre. L’homme est un être égoïste en bien des points. Alors pourquoi donner sa liberté pour autrui ? Pourquoi s’empêcher de vivre pour une autre personne ? Rien de tout ça n’était cohérent. Notre jeune Jun le savait bien, il s’en était rendu compte. Il savait que même dans le cœur du plus bel homme se cachait une part de noirceur. Ne commençait-il pas à l’avoir ? Ne commençait-il à se rendre compte ? Cette part n’était que grandissante chaque jour. La haine et la vengeance, il n’était nourris que de ça.
Un de plus ou un de moins, cela ne changera pas grand-chose. Une bonne action ou une mauvaise action, cela n’allait pas changer la balance du monde. La vie est courte, autant la vivre intensément. Pourquoi se priver d’être ce qu’on est ? Il voulait se convaincre qu’il n’était pas de ces personnes se nourrissant du malheur des autres. Il ne voulait pas être de ces personnes au visage souriant lorsque la personne en face de soi comprenait enfin qu’elle avait tord, qu’elle était prise au piège. Cette place, il l’avait vécu, il avait subi ce désaccord mentale. Il savait comment on se sent mal à l’intérieur lorsque l’on doute soi-même de ses propres actions. Il savait à présent que même le Passeur le plus sage était tout autant taché de sang qu’un Guide.
Doucement, il était debout devant ces champs de ruines. Preuve d’une gloire antérieur qui ,à présent, s’est effacé pour laisser place à la noirceur du monde. Il observait les grandeurs passés, réveillant les plus beaux des souvenirs. Son enfance dans ce monde. Il se revoyait courir auprès de ses amis. Il se revoyait leur tendre la main. Ces mains, elles étaient si chaudes à l’époque et si douces. Il revoyait la petite silhouette de Yu Mi se dessiner sous ses yeux. Il se revoyait lui courir après en rigolant. Mais l’image se troubla, il fut réveillé de ce rêve si doux… Les cris d’un homme, un Passeur, courant vers lui. Il était visiblement blessé et son regard se porta à ses blessures. Il arrêta l’homme et l’ausculta rapidement.
« Elle ? »
Il laissa ce mot s’échapper de sa bouche. Les blessures de l’homme, la précision qu’elles avaient… Elle n’étaient pas mortelles, ni même graves. Elles n’avaient que pour but de faire souffrir. Son regard se crispa. Cette technique, cela ne pouvait être qu’une personne. Relevant rapidement la tête, il vit alors la silhouette un peu plus haut.
« Ha Na »
Il l’observa dans sa robe blanche taché de sang. Cette femme était d’une redoutable beauté. Si cette robe n’était pas remplis de sang, beaucoup de personnes l’auraient prise pour un ange. Que de stupides paroles lorsqu’on connaissait la personne. Ji Ha Na était tout sauf un ange. C’était elle qui avait changé Jun Seok à jamais. Elle lui avait montré comment le monde pouvait être pourris, pourquoi il était si faible. Elle avait été sans pitié, pourtant il aurait voulu résister et ne pas craquer devant elle. Mais c’est que la jeune fille avait d’excellents arguments. Il souffla rapidement à l’oreille du Passeur de s’enfuir lorsqu’il était encore temps. Il lui demanda aussi de prévenir les 3 autres qu’il était ici avec Ha Na. Pas question de la laisser partir : il avait des questions à lui poser.
Lorsque l’homme fut partit, il resta un moment en bas, à l’observer, elle qui était un peu plus haut, sur ce terrain qui n’était pas aplani. Comment un visage d’apparence si gentil pouvait renfermer une âme si noire ? La nature est bien surprenante. | |
| | | Ji Ha Na
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| Sujet: Re: L'expression de la vie... Est formulée dans la haine [ Jun Seok] 26.04.09 20:18 | |
| Le monde est déréglé, il faut lui montrer comment tournée. L'erreur de l'homme sur cette planète, la rend de moins en moins accessible. Dans ce monde, aucune neutralité n'est acceptée. Il y a trois groupes distinct, ceux qui ordonne, ceux qui se soumettre et pour finir ceux qui se rebelle. Aucun monde n'est parfait, chacun idéalise son monde, pourtant il garde une noirceur au fond de soit. Monarchie ou république, ou en est la différence ? Le chef. Toute idée peuvent être partagés, les points de vue, pourtant, aucun d'eux ne sera le même.
Dieu est stupide, c'est un être qui nous regarde d'en haut qui fait tantôt le bien, tantôt le mal. Si on devait caractériser l'être, la chose la plus horrible, ce serait lui, du haut de son monde que personne ne peut atteindre, il nous regarde, amusé, faisant paraître son humeur à travers le temps et l'humain en subit les conséquences. Il nous regarde, du haut de son sommet, nous pauvre bête évoluée, nous entre tuer entre nous. Et nous, pauvre pantin exauçons ces ordres, mais qu'elle en est vraiment la preuve de son existence ? Ces sois disant apôtres ? Qui on écrit sa parole dans un livre nommée Bible. Ce qui est sur c'est qu'un jour nous finirons par mourir, car celui-ci en aura eu marre de jouer avec nous. Cet acte nommé apocalypse, l'humain qui se redresse à chaque fois ne sera plus et laissera part à une autre existence pour amuser celui-ci. Mais, il y eut un rebelle, il possède plusieurs noms, mais nous le nommerons la Bête. Que savons nous de celui-ci ? A part son apparence repoussante. Ce fut le premier « rebelle ». L'humain est idiot, il ne fait que retracer les écrits. Alors que celui-ci pourrait recréer sa propre histoire. Mais l'humain ne sait pas se diriger, il lui faut un maître et un peuple. Celui-ci se croit alors plus fort.
Moi je ne crois en rien. Je ne suis que celle qui suit. Si Dieu s'amuse, pourquoi pas moi ? Ainsi était les pensées de la demoiselle, des pensées qui font froid dans le dos. Tant de questions étaient à poser, pourquoi fait-elle cela ? Que lui est-il arrivé ? Est-elle un dépôt du rejet ? Pauvre être insignifiant, ils se croient ange, pourtant ils ne sont que pourritures, qu'elle est la véritable cause, celle que l'homme doit chercher. La solution serait devant nos yeux, pourtant celle-ci est inaccessible. Certain y son sois-disant arrivé, mais, qu'ont-ils trouvé la-haut ? Un allé simple pour l'enfer ...
Les questions insignifiante, ils croient que c'est en allant l'implorer, de pardon et toute autres choses qu'ils seront pardonnées ? Hum, c'est la qu'est le mystère. Personne ne sait. Tout n'est que mystère. Ha Na était seule, elle restera seule. Elle peut vous paraître froide, mais pourtant, certain la voie autrement, tout dépend de votre point de vue, tout dépend de votre camp. Ange ou Démon. Passeur ou Guide ? Ou en est la différence ?
Le jeune homme qu'elle avait lâchée, ce retrouvait maintenant à courir je ne sais ou. On dit pourtant que celui qui a peur, est celui qui gagne. Mais je suis dépourvus de sentiment face à des larves comme celle là. Qui peut comprendre mes idéaux ? Je suis départagée entre deux personnalités, la haine et l'amitié, lequel de ces deux sentiments est le plus fort ? Pourtant, il est interdit d'aimer. Ha Na dans qu'elles quand cette Déesse devait se retrouver ? Mieux vaut-il l'avoir pour ami, ou comme ennemi ? Qui ne possède pas de noirceur en lui ? Personne. L'humain est un crétin qu'il faut exterminer. Voici la prophétie de la demoiselle, tuer ou être tuée, telle sont les seules lois valables. Pourtant, il y a eu une époque ou ce bas monde possédait des pacifiste, mais tous finalement n'arrivait jamais à leurs buts, étant tué par un quelconque fanatiste.
Ha Na avance, pas après, pas. Le bourreau rejoins la victime. Beaucoup ce pose cette question, mais qui est donc cette veuve Noire ? On ne sait pas, elle-même l'ignore aussi, elle suis ses pas c'est tout. Jun Seok. Son jouet, elle lui avait dit un jour, qu'ils se retrouveraient. Le dernier acte ? Hum peut-être pas. Ce que j'aime, c'est faire souffrir, tuer ne m'intéresse pas, ce que je veux voir, c'est la douleur de l'être, ces cris, ces gémissements, ça demande de pitié. Je n'ai vu aucune de cela dans les yeux du jeune homme. Cet homme à l'extérieur résistant, n'était que de plus en plus faible, à chaque sentence infligée. Mais quand le plaisir est trop long, il en devient un vaccin pour la victime.
J'ai trop avancée, je suis peut-être aussi idiote que ces humains, d'avoir avancé jusqu'à celui-ci, pourtant je ne ressens pas de danger, l'air était induite d'une envie de meurtre. Hum Les combats à mort, n'était que chose minable. Il faut que l'être sois en pleine conscience quand il mourra, ainsi il possède une raison. Une raison de recherche, de réincarnation. Et celui-ci sera confronté au même problème, on raconte qui si tu meurs en souffrant, la loi de Dieu exige les mêmes morts pour tes autres ré-incarnation, Dieu n'est pas à l'image parfaite que l'on imagine, non celui-ci est semblable à la bête, il est avare et cruel. C'est ainsi, puisque nous sommes à son image.
« Cela faisait longtemps… »
Son ton était calme, pour quelqu'un qui en un regard pourrait vous torturer, hum il faut dire que c'était cela aussi, le jeune homme en apparence n'avait pas vraiment changé. Il s'était remis de son court de la dernière fois, hum tant mieux. Les passeurs était donc bien équipé, il devait donc posséder médecin et médicament. Bah, Ha Na ne pouvait vraiment pas sentir ces personnes qui étaient contraires à son art. Le soleil se couchait petit à petit.
« Jun Seok …» | |
| | | Ahn Jun Seok
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| Sujet: Re: L'expression de la vie... Est formulée dans la haine [ Jun Seok] 26.04.09 21:01 | |
| Le soleil commençait à se coucher doucement mais sûrement. Les derniers rayons de cette lumière chaleureuse éclairaient leurs visages. Tout deux étaient habillé selon leurs envies. Ils avaient l’air décontracté, si bien que dans un contexte normal, de non guerre, on aurait pu les prendre pour deux amants se donnant rendez-vous. Pourtant rien n’était comme tel. L’amour et la haine, chacun de ces deux sentiments se disputent le cœur de leur possesseur. L’homme sombrera-t-il dans l’amour ou dans la haine ? Que préfèrera-t-il ? Car si on aime à en mourir, on est déteste à en crever. Telle est la triste vérité. Amour et haine sont deux sentiments étroitement semblables l’un a l’autre. Tellement lié que l’amour peut se transformer en haine et la haine en amour. N’est-ce pas le cas avec Yu Min Wan ? Cet homme, il l’avait aimé en tant qu’ami durant des années. Seulement à présent, cet amour s’était transformé en une haine tenace.
La belle descendit de sa petite colline. Sa robe blanche taché d’un sang rouge et pourpre, flottait dans l’air. Ses cheveux faisaient de même et son regard semblait pouvoir vous tuer sur place. Son allure était élégante et raffiné. Elle semblait si belle et si redoutable. Ses pas étaient tellement silencieux qu’on n’aurait pu ne pas l’entendre arriver. Sa grâce était égale à sa cruauté. Et chez Ha Na, l’une n’allait pas sans l’autre. Elle savait vous dire avec le plus beau des langages et la plus belles des voix, des paroles atroces. Elle savait vous dire ses tortures préférés, celle que vous allez subir et cela avec une délicatesse sans égale. C’était à vous faire froid dans le dos. Son agilité lorsqu’elle vous torturez n’était que la profondeur du reflet que vous voyez tout les jours. Ji Ha Na, il suffisait de l’observer, de trouver ses plus belles qualités et en les noircissant et en les aggravants, vous obteniez un léger aperçu de sa nature : un être à la beauté angélique mais au caractère démoniaque.
Son regard ne la perdait pas de vu. Elle était là pour jouer, surtout qu’elle l’avait vu. Il se souvient encore du ton de sa voix lorsqu’elle lui dit qu’il était son jouer favori. Pourquoi ? Parce qu’il avait été plus résistant que les autres. Parce qu’il n’avait cédé que quelques heures, voire minutes avant que son jeu ne s’arrête. Elle n’avait pas entendu un mot de supplication. Ainsi, son jeu ne s’était pas terminé. Le chasseur s’arrête de chasser une fois qu’il a obtenu sa proie. S’il rentre bredouille un soir, le lendemain il partira. Il en était de même pour Ha Na. Jun Seok le savait très bien. Il aurait sûrement mieux fait de partir avec l’autre Passeur. Il aurait mieux fait de fuir. Pourtant, il avait des questions à lui poser. Il en avait tellement. Il savait se défendre, So Hee l’appelait le petit génie des art martiaux, mais Ji Ha Na avait un avantage qu’il n’avait pas : elle connaissait le corps humain à la perfection. Elle savait exactement où toucher pour stopper son adversaire. Oh Jun Seok connaissait ces techniques, mais son entraînement était plus basé sur le combat et la défense.
« cela faisait longtemps… » Pas si longtemps que ça pour lui. Ils ne s’étaient quitté il y a seulement 4 mois. Ils avait fait longuement connaissance dans cette pièce sombre. Ji Ha Na venant assouvir ses envies et Jun Seok subissant. Leur relation était devenu assez bizarre. L’un connaissant les réactions de l’autre dans certains domaines. Le vouvoiement n’avait jamais été appliqué mais une sorte d’intimité s’était créé. Oh, pas une intimité amicale, cela ne pouvait être le cas dans ces circonstances. C’était une intimité plus froide, dure et à la fois indescriptible.
« En quatre mois, tu n’as pas changé. Toujours aussi belle. Pourtant, tu es toujours aussi cruelle. »
Il fit un petit pas vers elle, s’approchant du loup. L’agneau s’éprit du loup ? Non, jamais. Mais l’agneau commençait à jouer lui aussi, entrant dans le jeu subtile du loup. Il fallait bien se l’avouer, Jun Seok avait terriblement envie de rendre à Ha Na tout ce qu’elle lui avait fait subir. La vengeance est mère de bien des malheurs, mais Jun n’y prêtait pas attention.
« Souhaites-tu reprendre la partie où nous l’avions laissé ? »
Jun Seok fit un petit sourire malin à Ji Ha Na. Il ne la quittait pas des yeux. Elle était un véritable serpent. À la fois si respectable et si effrayante. Il sortit de sa poche une petite dague. Son manche était de couleur rouge sang et en son bout un petit rubis brillait de mille éclats. Il la lui tendit en souriant.
« Tu préfères commencer par les questions ou par l’action ? Je te laisse le choix. »
Jun Seok n’était pas fou, s’il lui tendait la dague, c’était uniquement par souvenir. N’avait-elle pas fait la même chose ? Ne lui avait-elle pas proposer de se mutiler soi-même en lui tendant une dague ? Il avait le choix : soit il prenait la dague et il se mutilait, soit elle le faisait à sa place. Ce n’était que nostalgie. | |
| | | Ji Ha Na
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| Sujet: Re: L'expression de la vie... Est formulée dans la haine [ Jun Seok] 27.04.09 0:59 | |
| La raison du plus fort est toujours la meilleure Nous allons vous montrer tout à l'heure…J. De La Fontaine Qui était le plus fort des deux ? Tout deux se ressemblait. Pourtant, il n'avait pas les mêmes idées. Le monde, si fragile, avait le pouvoir de supporter ces deux être. A votre avis, qui est le gentil ? Ils étaient semblables, à la seule différence l'un avait plus d'expérience que l'autre et était dépourvue de tout sentiment. Tandis que l'autre avait souffert pour cela. L'être humain, cherche, mais ne trouve jamais. L'humain est égaux, si l'un n'a pas une chose, l'autre l'obtiendra et le partagera. Hum. La demoiselle recherchait la douleur de l'âme et non la douleur physique. Certain son plus sensible à l'un, tandis que d'autre le son à l'autre. Tout ce découvre, peut-être sont-ils égaux, mais ne se ressemble en aucun point. Sous la torture, chacun et différent. Mes petits pantins, il ferait n'importe quoi sous la torture, il me regarde, au tout début, comme un ange, mais aux bouts de quelque minute l'assimile au Diable. Cet être, si beau, que pourtant tout le monde rejette. Qui est vraiment le démon ? Ce mot, inventer par Dieu pour en faire son ennemi, n'a de sens qu'envers ces partisans. Pfft, quelle idiotie d'idéaliser quelqu'un alors que ceux-ci ne sont que le reflet d'eux mêmes, une histoire, vrai, remplie de prédiction. Tout n'est que fatalité. Chacun doit exaucer les caprices d'autrui, mais en priorité à son Dieu. Les deux jeunes personnes, ne se connaissait pas vraiment, pourtant quand on les observait on pouvait se demander leur relation, qui étaient-ils vraiment ? Comme deux êtres en passions pour la même raison ? Ou deux êtres ne vivant que l'un pour l'autre ? Pauvre petite brebis, pourquoi as-tu quittée le troupeau ? Maman est-elle loin ? Il faut que je lui parle. Le jeu rendait la jeune Ha Na rayonnante et quand on veut jouer il faut un bon jouet, s'il n'est pas résistant, ce n'est pas génial, on aura dépensé des efforts pour rien. Non ce qu'il faut c'est un jouet hors de prix. Donc il faut jouer avec précaution, un jouet qui à vos saute d'humeur saurais garder sa dignité humaine, mais dont vous vous faites une joie de détruire petit a petit. Ahn était le jouet le plus amusant trouvé par son frère, il n'y avait que lui que lui qui savait comment amusé la jeune demoiselle et cela aurait été regrettable que Sato ce soit occupé de lui, elle lui en aurait voulu, peut-être que le petit génie aurais trouvé comment lui faire cracher mot. Non Sato, n'était occupé que part la violence morale, il ne c'est faire que l'un ou l'autre, combiner les deux et vous obtiendrez un mélange parfait. Pour quel côté seriez-vous ? Car miss c'est quand même rire, l'imaginé pas si cruelle, la preuve vue qu'elle sait jouer, mais peut-être que vous n'appelleriez pas cela comme ça ? Qu'est-ce que la victime ressent quand son bourreau lui lacère ces coups ? Manquerais plus que l'on tombe sur une personne Sado-masochisme. Mais bon. Jusque là, personne n'avait aimé ce que Ha Na provoquait. Pourtant, cela était délicieux. Le meilleur des repas, peut-être que si vous étiez comme moi, vous sauriez quel est le plaisir que provoque un vampire en vous mordant. Pourtant, Ha Na n'est pas cannibale, non elle nourrit simplement son cerveaux. L'humain est son cobaye. Ha Na et le jeune garçon ne semblait pas vouloir manquer une miette de l'instant, chacun s'observait. Près à mordre à tout instant, pourtant, Ha Na n'est pas sur la défensive, elle n'a même pas encore commencer. Quatre malheureux mois étaient passés, cela pourrait vous paraître une éternité, pourtant, les proie de la demoiselle sont programmées pour revenir à elle. Avec soif de vengeance, peut-être était-ce le cas du jeune Coréen. N'est-ce pas malheureux de casser sa propre race ? Mais si cela vous amuse, cela est permis. L'homme n'avait vraiment pas changé, depuis ce jour. Il avait été positionné dans cette cave. Aux troisième sous-sol. Là où seul les dirigeant peuvent être permis. Une salle noire, ou seule une bougie éclairait la pièce. Si vous savez-vous en servir, elle peut vous déterminer le temps. Ce temps-ci précieux. Mais la bougie c'était éteinte, la pièce était vaste. Vide. Un chaque pas, on entendait la demoiselle approcher. Puis plus rien, le silence complet. Pour qu'elle arrive à se positionner juste derrière son épaule, pour lui susurrer à l'oreille, la prochaine étape. Si lui n'avait pas changé, elle non plus. « Merci du compliment. Pourtant, il est dommage que tu ne me connaisses pas mieux, tu peux savoir que j'ai été douce... »Ces mots, étaient toujours choisis avec délicatesse, pour atteindre l'âme au plus profond de l'être. Etre agressive, c'est montré a faiblesse, d'attaquer, avant de réfléchir. Les plus grands hommes de l'histoire, possède tous une tactique. Ainsi, l'homme est invincible. Seul la mort peut l'atteindre. Jun Seok, fit un pas vers elle. Peut-être avait-il une idée, la partie deviendrait intéressante. La brebis est entrée dans le territoire du loup. Ne dit-on pas que pauvre brebis herbivore, n'a aucune chance contre le carnivore ? A moins que celle-ci, souillé ne devienne comme lui.Elle avait envie de continuer ce jeu. Ce jeu qui rendrait fou toute personne normale. Mais ces deux la n'étaient pas fous, non au contraire, ils savaient bien ce que tout deux faisait. Mais pourtant... Tout homme possèdes des faiblesses et celui-ci doit les détruire, car celle-ci peuvent devenir pesante et envahir l'homme. L'information. L'extraction l'est plus souvent. Mais Ha Na connaissait l'homme en fasse d'elle. Elle l'avait étudié, pour que le jeu, en devienne amusant. Mais qui connaît vraiment le passé de la demoiselle ? Peut de gens hormis Min Wan. Ha Na regardait la fine dague, que le jeune homme lui tendait, elle pouvait la représenter, sa lame, semblait aiguisé, propre, pas une seule utilisation peut-être, a moins que le jeune homme ne sois méticuleux sur la propreté de ces instruments, ou bien l'avait préparé en ce jour, à la couleur du manche, d'un rouge, si foncer, qu'il en deviendrait du sang. Reprenant ses yeux dans celui du jeune homme, qui était plus grand qu'elle. Elle ne fit que repousser l'offre. « Crois-tu vraiment que j’ai besoin de cela ? Mes lames son amplement suffisante et le joyaux pourrait encore te servir… »Qui avait envie de refuser une offre pareille ? Mais s'il l'a lui proposait, c'est que forcement, il en possédait un autre. Relevant un peu le dessous de sa robe, elle en tira accroché à sa cuisse, un vieil opinel. Ce qui est vieux, est souvent ce qui a de meilleure. Pourtant, la jeunesse peut prendre le dessus. Mais pas sur l'expérience. Hum, qu'elle genre de question pouvait-on posé à son bourreau ? C'est curieux. Ha Na était plutôt du genre a affaiblir l'ennemie physiquement, pour attaquer la face morale subitement, car celui-ci ne pouvait s'échapper,. Mais la situation était autre. Laisser le choix donne l'avantage. « Faire les deux ne m'ont jamais posé problème, mais si tu passes à l'action avant, tu n'obtiendras jamais de réponse. »La Brebis finit toujours par être mangée | |
| | | Ahn Jun Seok
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| Sujet: Re: L'expression de la vie... Est formulée dans la haine [ Jun Seok] 27.04.09 18:49 | |
| Le temps est le seul véritable ennemis de l’être humain. Aucun homme ne peut se battre contre le temps. Personne ne peut le défier, l’arranger ou le modifier. Il s’écoule telle un long fleuve. Car même si on continu à l’appeler « temps » ce n’est jamais la même chose qui le compose. Il fut un temps où le 19e siècle composait le temps, à présent c’étaient deux petits être qui semblaient si insignifiant aux yeux du monde : Ji Ha Na et Ahn Jun Seok. Si l’un des deux mouraient, le monde ne se porterait pas plus mal. Le temps continuerait de s’écouler ni plus vite ni plus lentement. Le temps n’est influencé par aucun individu. Il n’est pas sous la coupe du mal ni sur la coupe du bien. Il permet à tout le monde de vivre et de mourir. Chacun vit son temps, sa vie, qu’elle soit plus courte ou pas dépend de ses actes, de la fatalité et de bon nombre de facteur indépendant du temps. Le véritable ennemis de ces deux personnes, ce n’étaient pas celui ou celle qu’ils avaient en face d’eux mais bien le temps. Car un jour, même après avoir résisté aux Passeurs ou aux Guides, Jun Seok et Ha Na mourront car leur temps se sera écoulé. Ils auront vieilli ou ils seront mort trop jeune. Personne ne le sait, mais tout à une fin et cette fin n’est que le renouveau.
« Vis ta vie en étant heureux Jun. N’est pas de haine. » Il se souvient encore des paroles de sa mère. Il n’avait fait que suivre ses parents, les premiers Passeurs. Il n’avait que les observer de loin, avec cette image glorieuse en tête. Il les voyait comme des héros. Il n’allait les voir que comme des martyres. Leur temps de vie fut court, ils ne purent voir leur fils devenir un adolescent puis un adulte. Il se souvient encore des cris dans les rues. Il se souvient encore de cette explosion. Il se souvient du passé. Il marchait rapidement dans la rue avec Jae Hyo et ses parents étaient devant eux. Soudain, une explosion eut lieu et le petit Coréen vit le corps de ses parents voler sur l’autre trottoir. Lui n’avait reçu que quelques débris qui avaient griffé son visage. Il se souvient avoir crier, il se souvient avoir couru vers ces deux corps étendu à terre. Son père était mort sur le coup et il baignait dans son propre sang. Sa mère l’observait avec ses yeux doux. Elle lui glissa cette simple phrase à l’oreille. Elle fut une pacifiste jusqu’au bout.
Mais la haine, ne permet-elle pas d’être plus fort ? Pendant des années il avait refoulé la haine qui était née en lui. Il l’avait ignoré, il avait même désiré qu’elle ne soit jamais développer dans son cœur. Pourtant, il avait cette haine envers les parents de Yu Mi. C’étaient eux les coupables. Ils n’avaient semé que terreur et haine. Ils devaient mourir pour les crimes qu’ils avaient commis. Pourtant, en faisant cela il ne ferait que se rabaisser à leur niveau. Et Yu Mi ? Il l’aurait fait souffrir. Qu’importe, ils étaient mort à présent, il ne s’en souciait plus. Mais la haine qui se tapissait dans le plus petit recoins de son cœur n’avait que reprendre ses droits il y a quatre mois. Yu Min Wan et Ji Ha Na : sa liste noire. Personne à abattre mais surtout à faire souffrir comme ils l’ont fait souffrir.
« Ta douceur m’a laissé un arrière goût Ha Na. »
Cet arrière goût lui resterait à vie. Il ne pourra jamais le faire disparaître. Cette cicatrice, Ji Ha Na lui avait laissé le plus beau des arrières goûts de sa douceur. Une douceur bien pénible aux yeux de Jun. En ce qui concerne de le connaître mieux, il n’en avait pas du tout envie. Ils n’étaient pas du même monde et même en tant qu’ami cela n’aurait pas marché. Alors la connaître en tant qu’ennemis, il ne voulait même pas imaginer les heures qu’il pourrait passer avec elle : un enfer sur terre. Cet enfer il en avait eu un avant goût et en savoir plus ne faisait que le repousser. S’il n’avait pas un calme et en sérieux en vue de la situation actuelle, il se serait laissé aller avec un petit frisson dans le dos.
Il sourit lorsqu’elle refusa la dague. Rapidement, il ramena la pointe vers la poigné et laissa son bras pendre le long de son corps. Le jeu n’avait pas totalement commencé. Jun Seok étudiait son adversaire, ses réactions. Il ne serait pas le premier à bouger, il n’avait pas envie de tester la rapidité de la belle. Il connaissait sa force et son agilité, si proche d’elle, commencer le jeu ne serait que pure folie. Oh Jun Seok pourrait lui aussi atteindre sa cible, mais il ne souhaitait pas s’entre tuer. Il n’était pas encore prêt à donner sa vie pour effacer celle d’Ha Na. Faible ou lâche ? Non, il voulait juste continuer d’être heureux avec Yu Mi. Il voulait encore vivre sa vie avec elle. Il avait encore des choses à faire, des moments à vivre. Il n’allait pas jouer avec le feu maintenant. La prudence est le meilleur des remèdes dans ces situations.
Il sourit de plus belle quant elle lui dit que le joyau pourrait encore lui servir. C’est à ce moment là qu’on se rendait compte de l’état d’esprit de la jeune fille. Un Guide dévoué aurait pris la dague en pensant que le joyau ne leur servirait plus à eux les Passeurs. Mais Ha Na ne se souciait pas de ces détails. Elle voulait juste jouer, elle voulait s’amuser. N’en avait-elle pas le droit ? Si elle l’avait, mais pas avec des jeux comme cela. Pas des jeux où la vie d’une personne y est incorporé.
« Alors commençons par les questions Ha Na. Je ne peux qu’avouer que tu m’en as laissé pas mal il y a quatre mois. »
Il garda la dague dans la main mais il ne tenta rien. L’action viendra quant elle viendra. L’heure n’était pas à la dispute corporelle. Faire les deux, il savait que la belle pouvait le faire. Elle pouvait très bien discuter tout en étant une redoutable adversaire mais Jun Seok ne voulait pas oublier des questions juste parce qu‘une dague ou autre objet tranchant pourrait le couper. De plus, il savait qu’Ha Na était bien trop habille avec les mots. Elle savait mettre le doute dans votre esprit quand vous-même vous pensez e contraire. Il n’allait pas se risquer à un tel danger.
« Te souviens-tu de la légende européenne sur les vampires ? »
Un petit sourire se dessina sur son visage. Un sourire malin et remplis d’une folie inconnue jusqu’alors. Il savait de quoi il parlait. Il savait où il voulait en arriver. Il savait ce qu’il voulait dire. Mais Ha Na, comprenait-elle sa question ?
« Lorsqu’il mort sa victime, s’il ne l’achève pas, elle devient comme lui. »
Et l’agneau devint le loup. | |
| | | Ji Ha Na
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| Sujet: Re: L'expression de la vie... Est formulée dans la haine [ Jun Seok] 28.04.09 0:59 | |
| Que sert-il qu'on se contrefasse? Prétendre ainsi changer est une illusion L'on reprend sa première trace A la première occasion. Qui peut comprendre la relation qu'entretenait la Douce avec le jeune homme. Une relation bien dangereuse, qui pourtant importerait peu. A qu'elles yeux Ha Na existait-elles ? Que trop peu, pourtant, les ennemis quelles c'est fait sont nombreux, mais aucun ne possédait la valeur de devenir comme elle, la vie est chose précieuse, pourtant, l'humain trouve moyen de jouer. Qu'est-ce qu'une vie ? En vous posant cette question, vous n'obtiendrai aucune réponse. Peut de gens en savent, la signification, une vie. Cette chose, ce n'est rien, juste un mot qui fait partie du vocabulaire de jeu. Une vie, c'est si fragile, si vous tombez en fasse de la mauvaise personne, elle peut être brisée, fissuré en seulement quelques mots. Ce mot n'est pourtant utilisable qu'une seule fois, il n'en existe pas plusieurs. La seconde chance tombe à la case game over. Croyez-vous vraiment que la Belle serait devenue comme cela si des avènements ne se seraient pas passés ? Il vous court après, faisant naître monstre en vous, pourtant, vous n'étiez pas décidée, à le devenir, qui était cette fille. Qui pouvait vous donner une faible apparence, mais dont la bête qui gîte à l'intérieur, pouvait surgir a tout instant. Combien de temps celle-ci mangeait le coeur de la demoiselle, cette bête qui lui avait retiré son âme et pris la place de son Ange gardien. Etes-vous de ceux qui pensent que si l'extérieur est beau, l'intérieur est repoussant ? Hum peut-être que c'est le cas maintenant. Mais ce ne fut jamais le cas. On en revient toujours à la même phrase, le passé est maître de tous les maux. ~ C.O.M.M.E.N.C.E.M.E.N.T. ~ Ha Na n'avait rien vu. Elle était restée immobile, dans ce placard, elle s'était bouché les oreilles comme son père lui avait ordonnée, il voulait qu'elle survive peut-être, qu'elle les venge. Qu'elles étaient ces intentions ? Peut-être aurait-il voulue sauvez ce petit Ange, à l'époque si innocent. Cet être, qui possédait le coeur pur. Ha Na à cette époque était l'ange, l'enfant dont tout le monde voulait. Pourquoi la jeune fille ne sortait pas ? Car elle était obéissante, bien quelle l'est toujours si c'est dans ces moyens et dans ces choix. L'aînée de la famille Ji ne voulait pas décevoir son père, pourtant lui l'a déçu. Elle avait ignoré ces cris, ces douleurs et ce silence. Un silence qui vous ferait froid dans le dos. Elle était seule, aucun ami sur qui se tenir. Physiquement et mentalement. Ainsi avait commencé cette chasse. Qu'elle fut les dernières paroles, de ces parents agonisant ? Ce bébé, il venait de naître, il ne possédait pas encore de nom, hormis celui de frère.. Ha Na savait, sans pour autant savoir. Quel être avait bien pu faire ça ? Pourquoi cet évènement ? Qu'avait-elle donc fait ? Une famille, dans l'ombre approchait. Le corps de la jeune fille, salle, souillé par tous ces flots de sang, gisais sur celui de son père, Guide de profession. Tout ce qu'il voulait, c'était protégé sa famille, bien, qu'il était contre les idéaux des Guides, celle-ci ne le saura jamais. C'est dans ces moments-là que la Haine ce contracte, aussi pur sois l'ange, celui-ci s'il devient orpheline, sera souillé. Ne méritant pas sa place auprès de Dieu, il sera considéré comme déchu.Bien que l'enfant soit innocent, Il doit payer pour les crimes de ces parents. 01.01.2000 Ainsi fut la sentence infligée par Dieu, sur le petit être qu'était humain. Cherchant réconfort, il cherche ses semblables. Dieu a rejeté la bête, la bête me ressemble. Je dois la rejoindre, mais comment est-ce possible. La vertu est battue par le péché. Je l'ai trouvée. Ces dernières paroles ? « Vis, j'étais guide, je t'... » Mais la mort succombât et emporta son âme avec elle. Ne connaissant pas la fin des paroles de son défunt pèreSi son Dieu rejette son partisan. Celui-ci se lègue alors contre lui, En rejoignant son ennemi, Elle devint fille de Satan. 09.11.2001
~ F.I.N ~ Ha Na, peut-être est-elle trop emprise par cette rage, cette rage de vengeance, l'envie de tuer tout passeur sur son passage, son père était à cette période, la Bête, fut son père, celui qui fut la clef de démarrage de cette machine. Mais cette même clef était maintenant partie. La vengeance. La colère. La rage, nourris l'esprit de l'être humain, à l'en rendre impénétrable. Cette haine que seule elle pouvait comprendre. Pourtant, Ha Na en rigolait. Part pure folie, celle-ci pris sa vie en jeu. Cette vie dont son père lui avait dit qu'elle était son joyaux. Mais, son coeur le risquait. Un jour elle mourra. Si c'est à mourir, autant que ce soit pour une bonne cause. Pour l'état, que de mourir croulante sur un vieux fauteuil. Non un jour sa fille goûtera au même sang. Devenant ainsi comme elle. La demoiselle ne bougerait pas. Seule ses lèvres le faisaient pour elle. La première attaque, est souvent celle qui vous fait perdre. Calme. Les deux jeunes personnes avaient les yeux rivé l'un sur l'autre. Près à agir au moindre pas, pourtant, aucun des deux ne le ferait pour l'instant. Le plaisir de goûter au geste de l'ennemi, d'essayer de deviner les moindre pas de celui-ci, geste ou mouvement. Etudié pour battre ainsi le loup l'a toujours fait, son cousin le renard lui a appris. Les deux personnes n'avaient pas le même sens pour le mot Douceur. Il était pourtant vrai que la demoiselle, agissait ainsi, on aurait pu croire que celle-ci avait jouée toutes ces cartes. Hum les avoir joué au premier coup n'aurait pas été amusant, il faut laisser durer le plaisir, sans casser le jouet, comme ça le jeu ne fait que durer plus longtemps. Ainsi garder les meilleures techniques pour la fin était du meilleur choix. Ha Na savait qu'elle allait le revoir, alors pourquoi montrer toutes ces capacités le premier soir ? « Je suis déçue, moi qui croyait que tu avais apprécié mon petit jeu ... »Ce jeu était habile, tout le monde pouvait pratiquer cet art, mais personne n'y arrivait à la perfection. Elle peut-être étudié sous forme de matière, elle est très utile. Quand quelque chose vous obsède, vous finissez par y adorer. Hum. Intéressant. Ou avait-il bien put apprendre cette légende. Elle était à son goût, c'est en effet ce qu'elle avait voulue faire. Elle savait que celui-ci se préparerait à la rejoindre, pour se venger. Il semblait avoir choisis ces mots. Le jeune homme comprenait le jeu, mais il y a bien des choses à lui apprendre. « Intéressant, il en est vrai…» La jeune demoiselle avait quelque chose en tête, cela peut paraître idiot, mais pourtant, ceci est la vérité, elle fit apparaître ses dents, comme s'il s'agissait de canines de vampire, d'un blanc aussi pur que celle qu'était auparavant la couleur de sa robe. La nuit était tombée, regardant l'homme, comme ci celle-ci était prête attaquer. Elle dit de son ton naturel : « Mais sais-tu, comme tout enfant, celui-ci passe par la case Bambin avant d'atteindre l'âge adulte... »Quiconque est loup agisse en loup: Mais le louveteau est trop jeune, pour devenir aussi feroce. Il ne sait que griffer, alors qu’il peut aussi montrer les crocs. | |
| | | Ahn Jun Seok
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| Sujet: Re: L'expression de la vie... Est formulée dans la haine [ Jun Seok] 28.04.09 23:26 | |
| Le jeu était une chose si amusante. Tout les enfants y jouaient, tout les enfants aimaient jouer. Cependant, les enfants ne jouaient pas au même jeu que les adultes. Les enfants n’étaient pas comme les adultes. Mais à quel âge devenons nous un adulte ? A quel âge cessons-nous d’être un enfant ? La maturité sûrement, c’est ça qui détermine notre passage de l’enfance à l’adulte. Dans ce cas précis, Ji Ha Na, Ahn Jun Seok, étaient-ils adultes ? Nous pourrions dire oui. Chacun des deux avaient vécu des évènements qui font grandir plus vite que les autres, des évènements bien trop dure parfois. La mort de ses proches, la trahison, l’incompréhension, tout n’est que facteur déclenchant le malheur. Ce malheur fait grandir inévitablement, on comprend des choses que l’on aurait préféré comprendre plus tard. On aurait voulu connaître des choses en étant plus grand, en ayant plus de recule. Pourquoi ? Pour ne pas sombrer comme Ji Ha Na. Jun avait des gens sur qui se reposer, il n’avait pas sombré. Sauf en ce moment où il chassait lui-même ses personnes. Il gardait son sourire, il gardait ses habitudes devant eux, pourtant il changeait petit à petit.
Parfois il faut courir pour échapper à son passé. Pourtant parfois il faut y faire face. Jun Seok avait fuis pendant de nombreuses années le souvenirs de ses parents. C’était mieux ainsi. S’il oubliait ses parents, il oubliait leur mort, il oubliait ainsi la douleur de leur absence. Pourtant, il y a quatre mois, tout était revenu. Il avait tout vécu à nouveau. Il s’était souvenu de tout. Entre deux paroles torturantes de la Belle, il s’était souvenu. En passant par les moments joyeux aux moments tristes puis leur mort. Une mort voulu par les parents de Yu Mi… Yu Mi… Une personne qu’il aimait tellement qu’il ne pouvait pas la détester, pourtant il aurait préféré que ses parents ne furent pas des assassins. Cela aurait évité bien des peines et des tourments. Cela aurait évité tellement de choses inutiles…
« J’ai savouré ton petit jeu Ha Na. Tu peux être fière en sachant qu’il n’y a pas un jour qui passe sans que j’y pense. »
Doucement il leva sa main où il n’avait pas la dague, il lui montra bien qu’il n’y avait rien à l’intérieur et il la rapprocha d’elle. Il la fit passer doucement derrière son oreille, toujours d’un calme olympien. Un faut pas et Ha Na n’hésiterait pas à attaquer. Il fit alors un de ces tours de magiciens lorsqu’il ramena sa main devant elle.
« Yu Min Wan, c’est un cadeau pour lui. »
Il lui tourna la petite photo qu’il avait entre ses doigts. Sur la photo, c’était Yu Mi avec un sourire. Un magnifique sourire. C’était une photo qu’il avait eut la chance de prendre chez elle à son appartement. Lorsqu’il était revenu de chez les Guides, c’était elle qui s’était occupé de lui. Elle avait eut une grande patience et une gentillesse hors du commun. Jun Seok lui en était très reconnaissant. Mais que venait faire cette photo ici ? Là était la véritable question.
« Tu peux lui dire que c’est tout ce qu’il aura d’elle. »
Lui laissant la photo, son esprit revint sur les dernières paroles de la miss. Un sourire malin et remplis de folie était toujours affiché sur son visage. D’où lui venait cette confiance, cette folie ? La haine. Cette haine, elle détruira tout sur son passage il en est sur. Pourtant, il ne pouvait résister de suivre ce chemin. Encore une fois, juste, ce disait-il à chaque fois. La prochaine fois, je ne me laisserais pas envahir, mais à chaque fois c’était la même chose. Il se laissait envahir doucement, ce sentiment emprisonnant son cœur et son esprit.
« Le Bambin est peut-être un peu maso de rester devant l’adulte alors ? »
Il gardait toujours un œil sur elle, toujours à l’observer. Cette ange. Pourquoi une beauté devait-elle devenir un monstre ? Le monde est-il si injuste ? Le monde ne pouvait-il pas épargner toutes les personnes du malheur ? Est-ce vraiment un mal nécessaire ? Bien que le temps n’était pas à la compassion, il ne pouvait s’empêcher de penser qu’elle n’avait jamais été comme ça. Elle devait avoir était pure un jour.
« À partir de quel moment ton esprit a-t-il sombré ? Quand as-tu perdu vraiment espoir ? Est-ce si dure pour te tâcher autant les mains ? »
Il l’observait, il n’avait plus son sourire mais son visage était neutre. Il n’avait pas de pitié, il était juste curieux.
« J’aimerai juste connaître ces réponses, mais si tu ne veux pas y répondre, passons de suite au jeu. »
S’il ne pouvait obtenir ses réponses, il fallait de suite se débarrasser d’elle. La vengeance est un plat qui se mange froid.
« Je m’impatiente. »
Le jeune s’impatientait d’en découdre avec la belle. Qu’elle soit une femme lui importait peu, il connaissait sa force et s’il jouait la carte de al galanterie, il finirait encore une fois dans cette cave où le temps parait ne pas exister. | |
| | | Ji Ha Na
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| Sujet: Re: L'expression de la vie... Est formulée dans la haine [ Jun Seok] 30.04.09 2:34 | |
| Dieu est la bête, Le Diable ressemble a l’agneau…Adulte ? qu’est-ce qu’est vraiment ce mot ? Un mot inventer pour différencier les humains. Pourtant, l’humain est censer être égaux, mais si tu naît riche, un pauvre naîtra au même moment, ton sosie pourtant, ne possédant pas a la même famille, juste jumeau d’âme. L’un possède la richesse extérieure, l’autre intérieure. Voici comment Dieu considère l’humain égaux, ce que l’un a, l’autre ne le possède pas. L’humain n’est égaux, que si celui-ci forme la paire. L’humain ne fait que recréer la prophétie, l’un sera l’ange, l’autre sera démon. Asmodée, prince du jeu et de la luxure, cet homme adoré par Ha Na, qui pourtant ils ne se connaissait guerre, de la pensée jusqu'à l’apparence, celle-ci reprend son image, bien que ces deux la n’ont pas non plus l’idée du jeu. Qui imite l’autre, est-ce vraiment elle, ou a-t-elle atteindre une telle perfection que celui-ci ne lui arrive plus a la cheville ? Le jeu, Ha Na en est passionnée, mais peut-être vous, pauvre victime, vous considérer ça comme une torture ? Hum. Oui c’est bien le mot à utilisé, car la vie est un jeu, ou tout le monde perd, même celui croyant avoir inventé la pierre, est mort en se transformant en poussière. L’homme est un perdant, en cherchant a gagner, il ne fait que s’enfoncer. Plus on croit être arrivé au but, plus on se rend compte notre erreur. Mais si Dieu est la bête, Que suis-je… ? Ha Na, qui se cache derrière se regard persan de haine, bien caché derrière cette barrière de corps humain, mais qui la connais réellement ? Hum. Personnes, il y a des chose qu’il vaux mieux ne pas savoir, comme d’autre, qui peuvent vous aidée. Le renard ne possède pas l’intelligence comme son cousin le loup, mais il possède la force, le seul élément qui lui manque, reste la ruse. Mais le meilleure reste du moins le loup. Sa sagesse fait preuve de nombreuse legende. Pourtant, celui-ci est-il aussi sage que nous le pensons ? Mais être associer de la bete est preuve de courage, car ne travaillée pour rien. Juste pour un corps de plus, voilà ce que demande l’assassin. Celui-ci ne peux s’arrêter, le goût salée du sang, s’infiltre dans le votre, et vous réclame plus. Vous détruisant petit a petit. Mais le meurtre est autorisé… Que si cela apporte a l’état… Oublier, rien ne peut être oublier, les blessure vous forme une cicatrice sur votre cœur, jusqu'à que celui-ci déborde, et vous fasse sombrer. Ha Na n’a pas vraiment sombré. Non car elle à fais croix au passée, se passé qui pourtant hante son esprit. Qui est la responsable ? Toi, Ha Na ne regrette rien, si une erreur fut commise, celle-ci doit être réparer, qu’elle coûte vie ou non. Dieu est sans pitié, pour atteindre ses portes, il faut être son enfant. Misérable Orpheline Ha Na ne pourra pas. Pourtant, l’enchanteresse le sais, c’est une autre raison qu’elle aime les souffrance des autres, elle sais, elle sais qu’elle ira en enfer, mais la bas elle pourra toujours torturer, car une aiguille peut-être un instrument. Mortel. Ha Na sais tout utilisé, même le plus innocent des objet possède sa forme cacher. Le mal rode en tout esprit, faites attention ou vous marché. Ha Na, méfiante tigresse, vis Jun Seok approcher sa main, que faisait-il ? Hum le louveteau voulait apprendre un tour a la demoiselle. Saviez-vous que coupé une oreille est une ancienne méthode ? Peut-être la trouveriez-vous démodé ? Mais, les méthode les plus anciennes sont les meilleures, croyez-vous que la sensation de perdre une oreille est agréable ? Hum il faudrait y goûter pour le savoir. Mais Jun était trop sage pour faire une égratignure a la belle, il était loyal et ne jouerais pas dans le camp de son cousin. Le Loup est trop fier. Regardant la photo que le jeune homme lui tendait, il reconnue la belle qui avait traverser le hall, hier pour réclamer on ne sais qu’elle fichier. La sœur c’était ainsi donc repartie en camp ennemi ? Fallait-il prévenir le beau Don Juan ? Non, se serait trop brutal, il ne faut pas brûler les étapes, peut-être était-elle ressortie vivante. Ha Na n’avais jamais eue connaissance de sa sœur, non jamais. « Hum. Il n’est pourtant point envelopper… Il ne faut pas brûler les étapes…. »Eviter les étapes, c’est chercher la facilité, Et comme dans tout film elle mener à la mort, Ainsi mène-t-il a la réalité, Le louveteau a toujours Tort Tous ce qu’il aura d’elle ? Hum je ne pense pas, souvient toi, je suis un chasseur et jamais celui-ci ne rate sa proie, je compte bien la connaître cette sœur. Cette guerre qui tourne autour de ces épaules. Tous lui sont liée. Elle au cœur si pur, croyant faire le bien, elle provoque le mal. Mais pourtant, elle pleure, ce doux être souriant, qui ne se rend compte de rien, un jour verra, le larmes que la terre fait couler, des larmes de sang. Ha Na ne pouvait s’empêcher de lancer un petit rire discret, son sourire laissait toujours ces canines au yeux du jeune homme, était-ce une déclaration ? Le jeune homme savait pourtant que la demoiselle la rechercherais sans relâche, si pour le faire plus souffrir encore, il devait la faire souffrir, elle savait pourtant que c’était sa sœur. Mais son frère ne le permettrait pas, mais à tout problème existe une solution, le silence est la mère de ces souffrance. « il faudrait alors le tuer. »Si l’enfant est Maso, alors le jeu n’a plus d’intérêt, et il faudrait le tuer. Pourtant l’enfant ne l’est pas, car celui-ci ne comprend pas. Il faut donc lui en expliquer la raison. Mais, il n’en possède pas toujours. Le louveteau est pressée, c’est-il la notion du temps ? ce temps, qui s’écoule tout doucement, mais, qui à cet instant d’amusement, filait à une vitesse. Mais étais-ce vraiment le cas pour le jeune homme ? Le temps, est la seule chose que l’homme ne peux stopper, même arrêté, celui-ci continuera de s’écouler. Le temps est précieux, il ne faut pas le gaspiller mais il faut savoir l’utiliser. Ces questions, Ha Na s’en fichait d’y répondre, non se n’est pas sa, qu’est-ce qui lui fait dire que la belle a sombrer ? Non elle ne l’a pas fait, elle est consciente de ce qu’elle fait. Sombrer, c’est paniquer dans l’inconscient. L’espoir, en quoi pourrait-elle avoir fois, c’était plutôt ça la question. ‘impatience, il ne sais pas dosée son temps, la chasse était pourtant ouverte. La louve repondit : « Qui à dit que j’ai sombré ? Je le fait consciemment. Si c’était dur de tuer une vie, je ne croie pas que je serais ici. J’ai tuer, même ma famille. Je n’ai point d’espoir, s’il n’y à rien à croire… »Vite, mais gentiment, La jeune fille aimait jouer avec les sentiment. « Pourquoi réclamer la vitesse, L’impatience montre la facilité et la facilité mène à la souffrance... »Tic. Tac. Tic. Tac. Le temps s’écoule. Les rivières de sang coule. Les étoiles, personne peut-être ne rejoindra se ciel ce soir la, du moins pas de deux personne, la Lune, claire, déposait ces rayon sur le deux personnes, comme si sa pureté laverais tous les pèches, mais est-ce assez pour les deux jeunes enfants, souiller par le crime ? Une seule pouvait supporter cette chance, l’une des morts, serais un pas de trop. A ces rayons, les taches de sa robe devenait si clair, qu’on en avait l’impression qu’elle disparaissait. Pourtant, dans l’esprit elle demeure, effacer, un jour elle ressurgirons. Bien que c’était la lune, les fines lames de leurs outils brillait, comme à leurs première utilisation. Le mal est-il effacé ? Dans le monde, il y a tant de question à posée. Mais peu de réponses obtenue. L’humain est indescriptible. Il change… | |
| | | Ahn Jun Seok
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| Sujet: Re: L'expression de la vie... Est formulée dans la haine [ Jun Seok] 03.05.09 21:38 | |
| - Il se souvenait encore de nombreux moments passés auprès de Ha Na. D’un goût cruellement savoureux. Il ne pensait pas en sortir vivant, il ne pensait pas sortir d’ici, il pensait que c’était ici, avec elle qu’il vivait ses derniers instants. Il ne connaissait pas le futur, il ne savait pas voir l’avenir, il ne savait pas ce qui l’attendait mais il savait une chose, les paroles que lui avait dit Ha Na lors de leur première rencontre. Elle ne les tue qu’après s’être suffisamment amusé, qu’après avoir été lassé de son jouer. Actuellement, il était un jouet extrêmement tentant. Un jouet au goût sucré et très intéressant. Un jouet peut même être réparé et il peut marcher à nouveau. N’est-ce pas le cas de Jun ? En quatre mois, il s’était réparé, doucement mais sûrement. Ainsi Ji Ha Na pouvait encore jouer avec lui. Bien sûr Jun Seok n’était pas stupide, il savait très bien qu’en restant ici avec elle, il avait de grande chance de rentrer dans son jeu. Il fallait alors rentrer dans son jeu volontairement et y participer. Jun avait prévu plusieurs choses. Il s’était remémoré ses moments passés avec elle, il s’était souvenu de tout ses comportements, tout les réflexes qu’il avait eut la chance de voir. Il devait s’en souvenir, pour pouvoir lui faire face aujourd’hui.
Renvoyait-elle la balle ? Est-ce une façon de se disculper ? Il ne savait pas. Il ne pensait pas au conséquence, il ne pensait au mal qu’il pouvait causer. Si il y pensait, il aurait du mal à continué et serait rongé par les remords. Seulement, les remords, il n’en voulait pas. Il ne pensait pas qu’en montrant la photo de Yu Mi, il ne faisait qu’aggraver les choses. Il ne faisait qu’augmenter le désir d’avoir Yu Mi au côté de Min Wan. Mais en faite, il savait bien qu’il ne faisait que fournir de l’oxygène au feu pour qu’il puisse continuer à brûler. Il voulait juste que le feu devienne un peu plus fou. Les regrets ? Il ferait tout pour ne pas en avoir si un jour cela chamboule tout. Pourtant il savait que c’était un jeu risqué que de provoquer les plus grands des méchants. Un jeu où l’on risquait souvent de se brûler. Mais à quel degré ?
« L’enfant est peut-être maso mais il n’est pas suicidaire Ha Na. S’il se lance dans la gueule du loup, c’est bien qu’il compte en ressortir. La solution serait plutôt de le faire ressortir, mais dans quel état le laisseras-tu partir ? »
Il sourit gentiment. Il savait très bien qu’il ne ressortirait pas de cet entre vu sans blessure, physique ou psychologique. Qu’importe combien il revenait blessé, son esprit était déjà torturé et il se laisserait aller dans le sombre côté de son esprit et de son cœur. Avec ça, il se sentirait mieux et il se laisserait pas sombrer dans les méandres de la douleur.
« En revanche tu peux encore le casser. Et si le jouet t’intéresse toujours, tu sais très bien que quelques temps plus tard, il se serait encore une fois réparé. Le jeu sera alors intéressant à chaque nouvelle rencontre. Le jouet change Ha Na, en même temps qu’il se répare il évolue. »
Tuer sa propre famille ? Jun Seok resta choqué. Il l’observa de ses grands yeux marrons d’un regard dégoûté. Pourtant il savait qu’on ne choisissait pas sa famille. Si la famille d’Ha Na était comme celle de yu Mi ou pire ? Elle avait alors une raison d’avoir agi ainsi. Cependant il ne pouvait se résoudre à cette éventualité. Ha Na ne ressemblait pas à une enfant de cœur, cela faisait longtemps que dans l’esprit de Jun Seok elle n’était plus un ange détruit par le malheur du monde.
« Alors l’ange ne s’en est jamais allé, puisqu’il était là depuis le début, il n’a fait que se réveiller... »
Le vie est précieuse, il faut la conserver et en profiter au maximum. Cependant, il ne faut pas en détruire. Si l’homme supprime une vie, il ne fait que détruire la sienne. Doucement, il devient de moins en moins humain.
« La souffrance n’est pas toujours volontaire. Bien souvent elle est amené par autrui. »
Sourit à la vie, même lorsque tu es au bord des abysses.
« Tu devrais savoir ça Ha Na. »
Il prit alors du recule. Doucement il fit un pas, puis deux, jusqu’à être au moins à trios petits mêtres de distance de la belle. Si Jun Seok prenait de la distance, c’est qu’il savait parfaitement ses possibilités et ses contraintes. Il n’utilisait ni d’armes à feu ni d’armes blanches. Il n’utilisait que ses poings. Jusqu’à présent cela lui avait été largement suffisant. Cependant, la petite dague qu’il avait aujourd’hui lui serait d’une grande aide, il le savait. Il l’observa silencieusement. Qui allait faire le premier pas ?
« Le jeu commence maintenant, les remords m’ont quittés. Peut-être souhaites-tu visiter nos quartiers ? »
Sur ces mots, il s’approcha rapidement de la belle. Pas pour attaquer, mais pour qu’elle attaque en première, c’était son but recherché. Qu’elle attaque en première. Brandissant son poing vers elle, il ne restait plus qu’à attendre quelques petites secondes pour savoir ce qu’elle comptait faire.
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